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En tant qu’élément participant à l’étanchéité du toit, le faîtage constitue une partie essentielle de la toiture. En construction neuve, le choix du faîtage garantit une construction imperméable et résistante aux intempéries. En rénovation, il convient de suivre les bonnes instructions pour réparer ou refaire un faîtage. Chez VM Matériaux, nous vous proposons toute une gamme de produits et composants du faîtage pour permettre une intervention performante et durable.
Le faîtage désigne communément le sommet d’un toit, ou dit autrement, l’arête supérieure de la toiture. Il s’agit, encore plus simplement, de la jonction entre les deux versants d’un toit en tuiles ou en ardoises. En pratique, le faîtage joue un rôle essentiel dans la solidité et l’étanchéité de la toiture. Cet élément vient en effet protéger la partie supérieure de la charpente (la panne faîtière) contre les intempéries.
À noter qu’il existe plusieurs types de faîtage qui diffèrent en fonction de la configuration du toit. Côté matériaux, le faîtage s’appuie sur des composants comme le closoir de faîtage, la tuile faîtière, sans oublier la lisse de rehausse. Tous sont disponibles dans le catalogue VM Matériaux pour répondre aux demandes des couvreurs et autres professionnels du bâtiment.
Le faîtage fait partie des éléments essentiels de la toiture. En pratique, le faîtage joue en effet un rôle :
de protection contre les intempéries et l’humidité (vent, pluie, neige, etc.) ;
de préservation de la solidité de la toiture.
Dans un vaste contexte de lutte contre le réchauffement climatique, le faîtage contribue par ailleurs à une meilleure efficacité énergétique. Un faîtage de qualité garantit en effet une meilleure isolation de l’habitation, avec à la clé de meilleures performances énergétiques et une diminution de la consommation d’énergie.
Compte tenu de l’importance d’un bon faîtage pour une toiture, on devine assez facilement que tout faîtage en mauvais état doit faire l’objet d’une rénovation. En pratique, il est recommandé de solliciter un professionnel pour la réparation du faîtage dès lors que des signes d’usure et/ou de dégradation apparaissent. C’est le cas, entre autres, d’un affaissement du faîtage ou de l’apparition de fissures. Dans certains cas, un faîtage en mauvais état peut entraîner des infiltrations d’eau qui, à leur tour, peuvent déclencher l’apparition de champignons ou de moisissures.
Bon à savoir : pour une protection optimale de la toiture et pour renforcer sa résistance aux intempéries, il est conseillé d’associer un système de ventilation des combles au faîtage.
La réalisation comme la réparation d’un faîtage nécessite l’intervention d’un professionnel (couvreur ou professionnel du bâtiment). En qualité d’expert de la toiture, le couvreur est le mieux à même de cerner vos besoins. Son intervention dépend du type de faîtage auquel il sera confronté.
En France, la grande majorité des faîtages sont des faîtages en tuiles, la plupart des habitations possédant une toiture en tuiles en terre cuite. La popularité du faîtage en tuiles s’explique par un souci d’harmonisation esthétique avec les tuiles de la toiture. Pour la partie installation, le couvreur a alors recours aux composants du faîtage, à savoir le closoir pour une technique de couverture dite "à sec". Celle-ci consiste à venir coller ou clouer les closoirs de faîtage sur la partie destinée aux faîtières. À défaut, le couvreur peut opter pour la technique de scellement au mortier qui se résume à former un bloc avec la panne faîtière et la toiture.
Quelle que soit la méthode utilisée, les travaux de faîtage se révèlent particulièrement techniques, et risqués. Nous rappellerons donc, une nouvelle fois, la nécessité de les confier à un professionnel.
Alternative aux tuiles en terre cuite, les tuiles en ardoise séduisent une partie des Français, en particulier dans certaines régions comme la Bretagne ou le Nord. La bonne nouvelle, c’est que les propriétaires d’une toiture en ardoises ont la possibilité de choisir entre un faîtage en tuiles et un faîtage en zinc. Pour une meilleure étanchéité et un meilleur aspect esthétique avec l’ardoise, il est souvent conseillé d’opter pour un faîtage en zinc. La bande de zinc peut en effet plus facilement être mise en place sur toute la longueur pour épouser parfaitement la forme de la toiture, avant d’être clouée sur l’arête.
Offrant de multiples avantages, la toiture en bac acier s’est peu à peu imposée comme une sérieuse concurrente face aux toitures en tuiles, en ardoises ou en zinc. Il faut dire que le toit en bac acier se révèle particulièrement stable sur le plan mécanique, ultra-résistant aux chocs et à la corrosion, et économique (tant en termes de coût de matériaux que de coût de main-d’œuvre pour sa mise en place). Seule contrainte, il est dans le cas présent nécessaire de s’adapter au format de toiture (toit plat ou à faible pente) et de recourir à des matériaux spécifiques comme les bandes faîtières en aluminium, en PVC ou en zinc.
Avec une bonne résistance dans le temps (un peu plus d’un quart de siècle) et son aspect brillant qui vire au mat au fil des années, le zinc ne manque pas d’arguments pour s’imposer comme matériau possible pour un faîtage. Ici, le faîtage en zinc sera le plus souvent cloué à l’aide de clous calotins pour venir protéger le sommet d’un toit.
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